Layla Jamal

Layla JAMAL

Layla Jamal (Post-doctorante)

Mail : layla.jamal@univ-artois.fr

Layla JAMAL a intégré le LBHE en tant que postdoctorante sur le projet européen Transcan Reachglio avec pour objectif d'explorer la vasculature hétérogène du glioblastome en utilisant des nanomédicaments multifonctionnels, dans le but de contribuer à l'amélioration des traitements pour cette forme agressive et fréquente de cancer. Son projet de recherche vise à repousser les limites en matière de passage des traitements à travers la barrière hématoencéphalique et à optimiser leur distribution au sein de cette tumeur aux caractéristiques complexes.Avant de rejoindre le LBHE, Layla a débuté son parcours par l'obtention de son diplôme de pharmacie de l'Université Internationale Arabe en Syrie (2010-2015). En 2016, elle est arrivée en France pour continuer ses études supérieures, où elle a obtenu son premier master en biologie intégrative et physiologie de la Sorbonne Université (2016-2018). Pendant cette période, elle a effectué un stage de 2 mois à l'INSERM U1149 à Paris, contribuant à l'innovation d'une colonne de purification de l'enzyme DLODP, impliqué dans les maladies congénitales de la glycosylation. Elle a également acquis une expérience industrielle d'un an (2018 - 2019) au sein de la start-up "PL vista" en tant qu'ingénieur qualité des produits cosmétiques et biocides.Par la suite, Layla a poursuivi ses études avec un deuxième master 2 (2019 - 2020) en pharmacologie, modélisation et essais cliniques à l'Université Claude Bernard (Lyon 1) Elle a effectué un stage au laboratoire INSERM-UMR1231 à Dijon, contribuant à une étude préclinique sur des souris portant sur les effets d'un nouvel inhibiteur de HSP90 sur la leucémie lymphoblastique aiguë.Après l'obtention de son master, Layla a effectué une thèse (2020-2023) à l'Institut national de l'environnement industriel et des risques (INERIS) en collaboration avec l'Université de Picardie Jules Verne. Ses recherches doctorales se sont concentrées sur les effets des fréquences radio de 5e génération (5G) sur des volontaires humains. Cette étude clinique, impliquant l'analyse d'indices physiologiques tels que l'électroencéphalogramme (EEG), l'électrocardiogramme (ECG) et l'activité électrodermale (EDA), avait pour objectif d'explorer les potentiels effets de cette nouvelle technologie de communication sur l'homme.