Margaux Cochard

Margaux

Margaux COCHARD (post-doctorante)

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Margaux Cochard a débuté son cursus universitaire en intégrant l’Université Paris-Saclay en effectuant une Licence de Biologie Chimie (2014-2017). En 2ème année, elle a effectué un stage au sein de l’Institut Pasteur à Paris dans l’unité Immunité antivirale, biothérapie et vaccins. L’objectif du stage était de définir des marqueurs prédictifs de l’évolution d’une maladie nosocomiale. À la suite de l’obtention de son diplôme de Licence, Margaux a réalisé un Master 1 des Sciences du Médicament (2017-2018) au sein de la faculté de pharmacie de l’Université Paris-Saclay. Lors de cette année de Master, elle a réalisé un stage de 2 mois à la faculté de pharmacie de l’Université Paris Descartes, en menant l’étude du ratio bénéfices/risques de deux nouveaux antalgiques sous la direction du Pr. Megarbane. Margaux s’est ensuite orientée plus spécifiquement vers la toxicologie en réalisant un Master 2 (2018-2019) Toxicologie Humaine, Évaluation des Risques et Vigilance, toujours à la faculté de pharmacie de l’Université Paris-Saclay. Lors de cette année, elle a effectué un stage de 6 mois à l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire à Paris sous la tutelle du Dr. Bertho. Lors de ce stage, elle a étudié les effets de la co-contamination par des polluants chimiques et radiologiques sur plusieurs modèles in vitro.

Suite à l’obtention de son diplôme, Margaux a effectué une thèse (2019-2023) à l’Université du Littoral Côte d’Opale, au sein de l’Unité de Chimie Environnementale et Interactions sur le Vivant. Cette thèse ayant pour sujet l’impact des particules fines atmosphériques issues de zones urbano-industrielles et portuaires sur la transition épithélio-mésenchymateuse des cellules pulmonaires a été dirigée par le Pr. Ledoux et le Dr. Landkocz.

Après l’obtention de son diplôme de doctorat, Margaux a intégré le LBHE en 2023 pour réaliser un post-doctorat sur le projet européen IMatrix. Ce projet a pour objectif de cibler les métalloprotéinases matricielles suite à la rupture de la barrière hémato-encéphalique lors d’ischémies post accident vasculaire cérébral, à des fins de diagnostic et thérapeutiques.